Salut mes Movievaures ! Après vous avoir un peu parlé de mon amour pour le cinéma, je reviens aux bonnes vielles habitudes. En effet, je vais aujourd’hui vous faire la critique du dernier Transformers (The last knight). Sorti le 28 juin, j’ai un peu hésité à aller le voir. Je me disais que je ne pouvais quand même pas le rater sachant que ça fait partie un peu des incontournables de l’été, mais en même temps on en a vu tellement passer…
Il faut se l’avouer. Transformers fait un peu partie de ce style de films qu’on adorait voir il y a quelques années, mais qu’actuellement, lorsqu’on voit les bande d’annonce on se dit : “quoi? Encore sérieux?”. Du coup, je n’avais pas un super bon état d’esprit en allant le voir.
Alors, je ne vais pas vous dire que je suis sortie époustouflée par la profondeur et la sagesse de l’histoire, ou même que j’ai passé les meilleures 2 heures 30 de ma vie. Mais sincèrement, j’étais un peu trop mauvaise langue. Comme quoi, il ne faut pas juger sur les apparences…
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Une Histoire bordélique, mais une histoire quand même
Vous vous souvenez de la déception que vous avez ressenti lorsque Shia LaBeouf a disparu de nos écrans aux côtés de Bumblebee, pour le 4e film L’age d’extinction? Mais je parie que vous vous souvenez surtout de votre air dépité lorsque vous êtes sorti des salles de cinéma en vous demandant “qu’est-ce que je viens de regarder”!? En tous cas, je m’en souviens bien moi, de l’histoire sans queue ni tête que Michael Bay nous avait servi en 2014.
Du coup, vous n’imaginez pas ma surprise quand j’ai réalisé que ce dernier Transformers, avait, en effet, une histoire, un sens ! Bon, c’est quand même pas les Seigneurs des Anneaux, ou Harry Potter, mais il y a quelque chose. Je ne vous spoil pas, mais pour la première fois depuis le début on comprends enfin pourquoi les Autobots et Decepticons continuent et persistent à venir sur terre (alors que des planètes il y en a quand même beaucoup dans l’univers). On nous explique l’origine des liens entre humains et robots, ce qu’il en est de la planète des transformers et surtout on comprends enfin l’utilité de Cade Yeager dans toute cette histoire! Sans oublier qu’Anthony Hopkins nous explique le tout, avec son petit côté british toujours très élégant.
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La raison pour laquelle on va voir Transformers: les scènes d’action
Même si on aime quand même les scénarios qui tiennent la route, on ne va pas se mentir. On va évidemment voir Transformers pour en avoir plein la vue pendant plusieurs minutes. Les gens qui sortent du film en disant que ce n’est qu’un film de robots, je crois qu’ils n’ont rien compris. Dans tous les cas, The last knight rempli bien sa mission. Pendant deux heures, on a des combats balèzes entre robots, des scènes quasi impossibles dans les aires, les océans et la terre. Des humains qui se surpassent, des robots qui nous dépassent et le tout avec le génie explosif de Michael Bay (on se l’avoue, il sait y faire le petit!).
Tout n’est quand même pas parfait. Il y a quelques abus de gros plans sur les robots, qui gâchent un peu les combats et parfois la caméra est un peu trop “nerveuse”: ça bouge dans tous les sens, même quand il y en a pas besoin. Mais on passe quand même un bon moment, sans parler des petites blagues un peu lourdes, mais assez marrantes des différents personnages.
En résumé: ne vous attendez pas à être transcendés, mais vous pouvez quand même passer un très bon moment, avec des popcorns, des bonbons et vos lunettes 3D pour en avoir plein la vue.